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LETTRES LATINES, GRECQUES, etc.connues pour telles, soit par leurs figures,
 ou par ordre alphabétique
 
 
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      1. Romain
      [voir folio 187]
 L'imprimerie est redevable de ce caractère, qui est devenu celui de l'Europe, 
      à un Français, nommé Nicolas Jenson ; il était graveur de caractères
      pour les monnaies à Tours : ayant été envoyé à Mayence, par ordre de
      Louis XI, pour tâcher d'apprendre sous Schöffert le nouvel art par lequel on faisait
      des livres, il s'acquitta de cette commission en homme instruit, puis il se retira à
      Venise, où il établit une typographie. Il forma un caractère composé des capitales
      latines, ainsi que des espagnoles, lombardes, saxonnes, françaises ou carolines, 
      qui se ressemblaient beaucoup. Il apprécia la figure de ces minuscules, en leur donnant
      une forme simple et gracieuse. Ce caractère fut appelé Romain, à cause
      des capitales romaines qui servaient de majuscules. Un livre intitulé
      Decor Puellarum, qui porte pour date 1461, en fut le premier 
      # fruit.
      Quelques savants, qui ne connaissaient Jenson que comme imprimeur, ont nié cette date
      de 1461, disant que les éditions de cet imprimeur ne paraissant commencer
      quen 1470, il n'a pu rester huit ou neuf années sans action : 
      mais ils ignoraient que Jenson était le premier graveur de caractères après 
      Schöffert ; par conséquent, ayant gravé et fondu le premier caractère romain suivant
      son goût, il a dû nécessairement imprimer  le premier livre à Venise où il s'est retiré
      vers 1460. Il n'y avait personne pour lors à qui il pût confier cette opération.
      Mais ayant trouvé plus de bénéfices à fournir des caractères pour l'établissement
      des imprimeries de Venise, de Rome, de France et autres, il a cessé pour un temps
      d'imprimer, et n'a recommencé qu'en 1470.
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      Romain du Roi. En1693, Louis XIV voulant établir une imprimerie au
      Louvre, pour son service, chargea différentes personnes de veiller à cet établissement.
      M. Jaugeon, de l'Académie des sciences, donna le dessin des lettres, dans 
      quelques-unes desquelles il y a des traits qui caractérisent les impressions du Louvre.
      Ces traits particuliers, aperçus par les artistes, sont communément ignorés des gens
      de lettres. Je pense qu'il me sauront gré de leur faire connaître ces marques, par lesquelles
      ils distinguent eux-#mêmes
      les impressions qui se font à l'Imprimerie royale. Elles consistent en de petits traits
      horizontaux, qui bordent par en haut ou par en bas certaines lettres minuscules. Je les
      représente ici avec les mêmes lettres d'usage ordinaire, afin que l'on en sente mieux
      la différence.
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      |  |  | On voit que
      les traits fins qui terminent les six premières lettres passent horizontalement de
      l'un et de l'autre côté de la tige ; les cinq autres commencent par un demi-trait
      aussi horizontal ; au lieu que les mêmes lettres d'usage en Europe, qui sont
      marquées dessous, commencent par un petit trait incliné qui n'occupe que la partie gauche.
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      2. Italique moderne
      [voir folio 188]
 La forme des caractères italique avait été un peu négligée par nos anciens
      graveurs, et ils avaient conservé un goût ancien et suranné. En 1737, j'entrepris de
      leur donner une forme plus gracieuse, en ménageant les pleins et les déliés qui 
      approchassent plus de notre belle écriture. Ce goût a été adopté de façon qu'on ne
      se sert presque plus des anciens en France.
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      3. Italique ancienne
      [voir folio 188]
 Ce caractère tire
      #son origine
      de l'écriture de la Chancellerie romaine, désignée par les mots Cursivetos seu Cancellarios ;
      de là vient qu'il a été appelé Cursive : c'est encore sous ce nom qu'il est
      encore connu en divers pays. Il a été connu aussi sous le nom de Lettres vénitiennes,
      parce que les premiers poinçons ont été faits à Venise ; ou sous celui de 
      Lettres aldines, parce que Alde Manuce s'en est servi le premier. Enfin le nom
      d'Italique, qui lui a été donné parce qu'il nous vient d'Italie, a prévalu.
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      4. Bâtarde coulée
      [voir folio 189]
 J'ai gravé ce caractère en 1741, dans le dessein d'imiter l'écriture courante
      et d'usage. Il a eu beaucoup de succès pour certains ouvrages de l'imprimerie
      auxquels il est propre.
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      5. Ronde
      [voir folio 190]
 Cette écriture était en usage dans les premiers siècles ; elle fut employée pour le
      service de l'imprimerie par Pierre Moreau, maître écrivain à Paris vers 1650.
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      6. Bâtard brisée
      [voir folio 191]
 Autre écriture du dernier siècle, employée également dans l'imprimerie
      par Pierre Moreau. Il joignit à ces deux caractères une troisième sorte d'écriture
      dite Bâtarde, qui imitait l'écriture ordinaire ; il en fit ou fit faire les
      poinçons et matrices, il en présenta et dédia les épreuves à Louis XIII,
      qui approuvant#
      son travail, lui donna pour récompense le titre d'Imprimeur ordinaire du Roi.
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      7. Bâtarde ancienne
      [voir folio 192]
 Cette sorte d'écriture était d'usage en France dans le 14e et le
      15e siècle. Elle est nommée Bâtarde parce qu'elle dérive des
      Lettres de formes, caractère plus figuré et dont on a retranché les angles et quelques
      traits. On quitta pendant quelques temps en France le caractère Romain pour se servir de
      celui-ci dans l'impression des livres, à l'imitation des Allemands qui imprimaient leurs
      livres avec le caractère qui imitait leur écriture. Un Allemand, nommé Heilman,
      demeurant à Paris, rue St Jean de Latran, en fit les premiers poinçons
      vers 1490.
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      8. Cursive française
      [voir folio 192]
 Autre écriture d'usage courant en France dans le 16e siècle. Nicolas
      Granjon, graveur français, en fit les premiers poinçons à Lyon en 1556. Le roi
      lui accorda pour récompense le privilège de s'en servir seul pendant dix ans. Ce
      caractère a été connu par la suite sous le nom de Civilité, à cause d'un livre qui
      a été imprimé avec ces lettres, sous le titre Civilité puérile et honnête, qu'on a
      réimprimé depuis avec la même force de lettres, pour donner des préceptes aux enfants
      et leur apprendre à lire l'écriture.
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      9. Lettres de Somme
      [voir folio 192]
 Ou écriture Allemande au 15e siècle. C'est le premier caractère
     qui ait été employé dans l'imprimerie par Gutenberg, Faust et Schöffert, à Mayence ;
     il dérive des lettres de Formes. On a imprimé beaucoup de livres  scolastiques en France
     avec ces caractères, entre autres la Somme de St Thomas, ce qui lui a fait donner
     le nom de caractère ou Lettres de Somme. Les imprimeurs les ont appelées
     Lettres Bourgeoises.
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      10. Lettres de forme
      [voir folio 193]
 Ainsi nommées par les anciens imprimeurs, à cause des traits anguleux qui
      rendent la forme de ces lettres plus composée. Ce caractère, connu vulgairement
      sous le nom de Gothique, n'était point une écriture courante ; il était destiné,
      en Allemagne, en France, en Angleterre, en Flandre, etc. pour les inscriptions publiques,
      les livres de chœur  et autres livres d'église, et pour les écritures qui demandaient
      plus d'apparat. Il est devenu propre aux Allemands, qui ont changé quelque chose dans
      la figure des capitales ; et aux Flamands, qui l'ont moins altéré, et aux Anglais,
      qui l'ont conservé jusqu'à présent : ceux-ci s'en servent encore dans les titres de
      certaines pièces d'écritures et d'impressions ; il est connu chez eux sous le nom
      de Black. C'est de cette sorte de lettres qu'on a imprimé dès l'origine de l'imprimerie
      quelques légers ouvrages, comme le Speculum humanæ Salvationis, et autres,
      qui ne portent ni date ni nom d'artiste, et le Pseautier donné par Schöffert 
      en 1457 et 1459.
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      11. Lettres tourneures
      [voir folio 193]
 Ainsi nommées à cause de leurs figures rondes et tournantes. Elles ont servi aux anciennes
      inscriptions, ainsi qu'à orner le commencement des chapitres dans les premières impressions.
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      12. Allemand, dit Fraktur, en allemand Hoogduits :
      [voir folio 194]
 Il tire son origine des lettres de Formes dont on a ôté les angles, c'st pour cela qu'il est
      nommé Fraktur.
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      13. Cursive allemande, dite Courante ou Tertia-current.
      [voir folio 194]
 C'est l'écriture d'usage en Allemagne : c caractère a servi pour l'imprimerie
      vers 1695 dans la ville de Nuremberg ; il a été employé depuis dans différentes
      villes d'Allemagne.
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      14. Schwabacher
      [voir folio 195]
 Il tire son origine de Schwabach en Franconie, où il fut inventé en 1500.
     Ce caractère a été d'un grand usage en Allemagne, où le ne sert plus guère que pour
     tenir lieu d'Italique lorsqu'on l'emploie avec le caractère Allemand, ou pour marquer un autre texte
     que ceux qui sont représentés par les caractères Allemands, Romains 
     et Italiques employés dans un même uvrage.
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      15. Majuscules allemandes
      [voir folio 195]
 Lettres fleuries ou ornées, dites Musirte Versalien, que les Allemands ont
     variées par divers dessins.
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      16. Flamand
      [voir folio 196]
 En allemand Duits. C'est le caractère dit Lettres de Forme,
      que les Flamands ont conservés avec quelques légers changements.
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      17. Irlandais et Hibernois
      [voir folio 196]
 Ce caractère est encore ne usage ne Irlande.
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      18. Latin ancien
      [voir folio 196]
 Ces lettres étaient nommées Ioniques et Attiques, parce qu'elles tirent
      leur origine des lettres grecques : elles étaient en usage chez les Romains
      six à sept cents ans avant J.C. Plusieurs nations les ont adoptées, avec des changements
      et des corrections, et elles sont devenues le principe des alphabets de l'Europe.
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      19. Français ancien
      [voir folio 196]
 <à saisir>
      D'usage dans le cinquième siècle, sous la première race de nos rois.
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      20. Cursive romaine
      [voir folio 198]
 Écriture d'usage à la Chancellerie romaine dans le 15e siècle :
     elle était désignée par ces mots Cursivetos seu Cancellarios. Une autre écriture
     nommée Cancellaresca Romanabatarda ressemblait à celle-ci, excepté les queues
     des lettres longues, comme les p, q, etc. qui par en bas étaient teminées parf un
     trait horizontal. Alde Manuce, imprimeur à Venise, est le premier qui adopta ce caractère 
     pour servir dans l'impression. Il en grava les premiers poiçons vers 1512, et obtint
     en 1513 de Jules II et de Léon X des privilèges pour s'en servir seul
     pendant quelques temps. Cette Cursive romaine a été l'origine de notre caractère Italique.
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      21. Francisque ou Carlovingien
      [voir folio 198]
 'usage sous la seconde race de nos rois, pour les titres et les souscriptions des patentes.
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      22. De César
      [voir folio 198]
 Sorte de cursive romaine. Cet alphabet est pris sur une feuille de papier d'Égypte,
      d'un pied de large sur cinq de long, qui portait pour titre sur le revers, Le testament
      de Cneius Julius Cesar, qui fut lu par son beau père Pison dans sa maison, les Ides
      de septembre. Cette écriture est est du sixième siècle.
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      23. Bullantique ou Impériale
      [voir folio 199]
 Lettres majuscules dont on s'est servi dans l'expédition des bulles apostoliques.
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      24. Cadeaux
      [voir folio 199]
 Ou lettres majuscules de notre ancienne écriture française.
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      25. Anglais, dite Court Hand ou Main de cour
      [voir folio 200]
 On s'en est servi en Angleterre dans les archives et dans les procédures. Un autre
     caractère anglais, presque semblable à celui-ci se nomme Common chancery ou
     Secretary Hand ; il était employé dans les requêtes.
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      26. Saxon ou Anglo-saxon
      [voir folio 201]
 D'usage chez les Anglais dans le cinquième siècle, lorsqu'ils habitaient le pays d'Anglen,
      proche l'ancienne Saxe.
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      27. Lombard
      [voir folio 201]
 Caractère latin dont les Lombards se sont servis.
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      28. Franco-Galle ou Mérovingien
      [voir folio 202]
 D'usage sous la première race de nos rois pour les actes publiques. On la nommé
      franco-galle, parce que les Français firent un mélange de leurs lettres avec celles
      des Gaulois qu'ils avaient vaincus.
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      29. Runiques
      [voir folio 202]
 <à saisir>
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      30. Étrusque
      [voir folio 203]
 <à saisir>
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      31. Étrurien
      [voir folio 203]
 <à saisir>
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      32. Toscan
      [voir folio 204]
 <à saisir>
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      33. Normand
      [voir folio 204]
 <à saisir>
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      34. Gothique ou Gette
      [voir folio 205]
 <à saisir>
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      35. Mœso-gothique
      [voir folio 205]
 <à saisir>
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      36. De Charlemagne
      [voir folio 206]
 <à saisir>
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      37. De Charlemagne
      [voir folio 206]
 <à saisir>
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      38. De Charlemagne
      [voir folio 207]
 <à saisir>
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      39. Impérial
      [voir folio 207]
 <à saisir>
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      40. Teutonique
      [voir folio 208]
 <à saisir>
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      41. Des Huns
      [voir folio 209]
 <à saisir>
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      |  |  | 
      42. Des Francs
      [voir folio 209]
 <à saisir>
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      |  |  | 
      43. Des Tables d'Eugubio
      [voir folio 210]
 <à saisir>
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      44. De la philosophie secrète
      [voir folio 210]
 <à saisir>
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      |  |  | 
      45. Sarrazin
      [voir folio 211]
 <à saisir>
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      |  |  | 
      46. Hanscret ou Brachman
      [voir folio 211]
 <à saisir>
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      |  |  | 
      47. Ionique ou Phénicien
      [voir folio 212]
 <à saisir>
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      |  |  | 
      48. Ionique ou Phénicien
      [voir folio 212]
 <à saisir>
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      |  |  | 
      49. Égyptien
      [voir folio 213]
 <à saisir>
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      50. Égyptien
      [voir folio 213]
 <à saisir>
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      51. Isiac-Égyptien
      [voir folio 214]
 <à saisir>
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      |  |  | 
      52. Lettres sacrées
      [voir folio 214]
 <à saisir>
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      |  |  | 
      53. Hiéroglyphique
      [voir folio 215]
 <à saisir>
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      54. Grec
      [voir folio 216]
 <à saisir>
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      55. Grec ancien
      [voir folio 217]
 <à saisir>
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      56. Æolien
      [voir folio 217]
 <à saisir>
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      57. Attique
      [voir folio 218]
 <à saisir>
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      |  |  | 
      58. Dorique
      [voir folio 218]
 <à saisir>
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      |  |  | 
      59. Copte
      [voir folio 219]
 <à saisir>
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      60. Copte ancien
      [voir folio 220]
 <à saisir>
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      61. Tyrien ou Punique
      [voir folio 220]
 <à saisir>
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      62. Hibérien ou ancien Géorgien
      [voir folio 221]
 <à saisir>
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      63. D'Appolonius
      [voir folio 222]
 <à saisir>
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      64. De Virgile
      [voir folio 222]
 <à saisir>
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      65. Russe moderne
      [voir folio 223]
 <à saisir>
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      66. Servien
      [voir folio 224]
 <à saisir>
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      67. Servien ancien
      [voir folio 225]
 <à saisir>
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      68. Illyrien, Dalmatique ou Esclavon
      [voir folio 226]
 <à saisir>
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      69. Esclavon ancien
      [voir folio 226]
 <à saisir>
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      70. Bulgare
      [voir folio 227]
 <à saisir>
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      71. Géorgien
      [voir folio 228]
 <à saisir>
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      72. Géorgien
      [voir folio 229]
 <à saisir>
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      73. Géorgien
      [voir folio 230/a>]
 <à saisir>
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      74. Arménien
      [voir folio 231]
 <à saisir>
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      75. Arménien
      [voir folio 232]
 <à saisir>
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      76. Arménien
      [voir folio 232]
 <à saisir>
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      77. Jacobite
      [voir folio 234]
 <à saisir>
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      78. Syriaque moderne
      [voir folio 235]
 <à saisir>
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      79. Stranghelo
      [voir folio 236]
 <à saisir>
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      80. Syro-Hébraïque
      [voir folio 236]
 <à saisir>
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      81. Palmyrénien
      [voir folio 237]
 <à saisir>
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      82. Phénicien
      [voir folio 237]
 <à saisir>
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      83. Éthiopien, ou Abyssin et Amharique
      [voir folio 238]
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      84. Éthiopien ancien
      [voir folio 239]
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      85. Babylonien ou Chaldaïque
      [voir folio 239]
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      86. Arabe
      [voir folio 240]
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      87. Samaritain ou Phénicien
      [voir folio 242]
 <à saisir>
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      88. Cuphique ou Oriental
      [voir folio 243]
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      89. Iduméen ou Samaritain
      [voir folio 243]
 <à saisir>
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      90. Mauritanique ou  Occidental
      [voir folio 244]
 <à saisir>
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      91. Cananéen ou Chaldaïque
      [voir folio 244]
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      92. Africain
      [voir folio 245]
 <à saisir>
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      93. Judaïque ou Chaldaïque
      [voir folio 245]
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      94. Hébreu
      [voir folio 246]
 <à saisir>
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      95. Rabbinique ou Cursive hébraïque
      [voir folio 246]
 <à saisir>
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      96. Hébreu ancien
      [voir folio 247]
 <à saisir>
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      97. D'Abraham
      [voir folio 247]
 <à saisir>
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      98. de Moïse
      [voir folio 248]
 <à saisir>
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      99. de Salomon
      [voir folio 248]
 <à saisir>
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      100. Chaldaïque ou Hébreu ancien
      [voir folio 249]
 <à saisir>
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      101. Phénicien antique
      [voir folio 250]
 <à saisir>
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